Bon nombre d'entreprises versent des bonus en fin d'année à leurs employés méritant pour avoir atteint, durant l'année, les objectifs fixés.
Bon nombre de nos clients passent désormais la vitesse supérieure. En effet, en plus des bonus annuels, elles versent également une part du gain ou de l'économie que leurs employés leur permet de réaliser en proposant leurs idées.
Le plus grand capital d'une entreprise est son capital humain. Négliger de l'écouter, c'est négliger de saisir des opportunités de business, car personne ne connaît mieux son travail que celui qui le réalise.
La défunte Swissair, compagnie d'aviation helvétique, possédait un des tout premier plan de ce type. Pour exemple, une hôtesse avait remarqué que dans les avions, les voyageurs n'utilisaient que rarement les deux sucres qui leur étaient distribués. Elle a proposé de faire des emballages d'une pièce plutôt que deux. L'idée a été acceptée, elle a touché un % de l'économie et a pu s'acheter une belle maison ! Ca vaut la peine dans les deux sens, n'est-ce pas ?
En effet, plutôt que de faire rentrer les employés systématiquement dans un moule, un bon manager est au contraire celui qui sait tirer ce qu'il y a de mieux chez eux et notamment leur créativité. La récompenser, c'est reconnaître son utilité.
Rédigé par : Vanina | 14/09/2006 à 16:37
Vanina,
Effectivement, les employés sont souvent les personnes qui connaissent le mieux leur travail, qui ont des contacts avec les clients (et donc savent ce que les clients pensent de leurs produits), voient les modifications qui peuvent être apportées non seulement aux produits, mais également au processus de l'entreprise.
Combien d'entreprises aujourd'hui négligent d'écouter leurs employés - tout comme elles négligent d'écouter leur client ?
Google, par exemple, propose à (je ne sais pas si c'est tous ou un partie) leurs employés d'utiliser 20% de leur temps de travail sur des projets privés (privés en terme de pas encore officiel dans l'entreprise, mais pouvant le devenir). Qu'est-ce que j'aurais aimé travaillé dans une boîte comme celle-là... ce que je n'ai jamais trouvé, raison pour laquelle j'ai dû ouvrir la mienne !
Rédigé par : Olivier Bender | 15/09/2006 à 08:42